Thierry Salvert
Douarnenez
Description
Vidéographe, mot le plus juste pour définir son art, quasi sénan, insulaire donc, habitué aux eaux turbulentes de l’île de sein, l’île fief des courants marins de la pointe de l’Europe.
Les courants et les turbulences, il les parcours dans, autour par et avec l’image, de la vidéo et des ses avatars, parce qu’il en a fait son lit, ses matières, ses amantes, une question de vision et de principe, de mouvement et de regards. Macro, micros, pop, expressionnistes, phénomologiques, virtuelles, réalistes, ses images sont le fruit de collaborations dans tous les domaines artistiques qui n’ont cessé de forger ses (les) émotions, ses vocabulaires, ses contractions du visible.
Entre la réalité multiple et les déflagrations, il y a pour ce taiseux proche d’autrui des passages à l’image comme on dirait à l’acte, traduisant et interprétant les propos des contemporains qui l’invitent.
En ce sens (voire ses goûts musicaux d’un éclectisme extrême) il est compositeur et interprète, créateur et manipulateur, accoucheur des fantasmes de ses pairs.
Pour les courants de ses trajectoires : VJ, avec le collectif Turbo sans visa (Yuna Le Braz), avec Purée dure (Pierre Fablet et Daniel Paboeuf), Nozef (Eric Thomas et Erwan Kervarec), Quator IXI (Régis Huby, Théo Ceccaldi, Guillaume Roy, Atsushi Sakaï, pour l’Opéra de Nantes) ou avec Michel Rostain (opéras Zaide et Zumidagawa). Il explore les territoires de la danse contemporaine (Les parages de zéro, Cie Aziliz Dañs et Cécile Borne), du théâtre d’objet (En Vol, Jacques Templerault, Dominique Vissuzaine). Intervient sur Noz Unit #2 (Jean-Louis Le Vallegant), dans Before Back (Rodolphe Burger, Erik Marchand), avec Michel Aumont. On le convie à programmer « ses images venues d’ailleurs » au Festival de Cinéma de Douarnenez ou aux Transmusicales, ou faire des installations aux Transmusicales de Rennes (collectif Zarmine), sur d’étranges projets tels qu’Ouvrez le bal ! et L‘étoffe des femmes (Cie Aziliz Dañs).
Ne pas oublier qu’il réalise aussi, en vidéo (série expérimentale «Les mémoires vives» avec Cécile Borne) et au cinéma, comme assistant réalisateur sur une trentaine de films, courts ou longs.
E.Premel
Les courants et les turbulences, il les parcours dans, autour par et avec l’image, de la vidéo et des ses avatars, parce qu’il en a fait son lit, ses matières, ses amantes, une question de vision et de principe, de mouvement et de regards. Macro, micros, pop, expressionnistes, phénomologiques, virtuelles, réalistes, ses images sont le fruit de collaborations dans tous les domaines artistiques qui n’ont cessé de forger ses (les) émotions, ses vocabulaires, ses contractions du visible.
Entre la réalité multiple et les déflagrations, il y a pour ce taiseux proche d’autrui des passages à l’image comme on dirait à l’acte, traduisant et interprétant les propos des contemporains qui l’invitent.
En ce sens (voire ses goûts musicaux d’un éclectisme extrême) il est compositeur et interprète, créateur et manipulateur, accoucheur des fantasmes de ses pairs.
Pour les courants de ses trajectoires : VJ, avec le collectif Turbo sans visa (Yuna Le Braz), avec Purée dure (Pierre Fablet et Daniel Paboeuf), Nozef (Eric Thomas et Erwan Kervarec), Quator IXI (Régis Huby, Théo Ceccaldi, Guillaume Roy, Atsushi Sakaï, pour l’Opéra de Nantes) ou avec Michel Rostain (opéras Zaide et Zumidagawa). Il explore les territoires de la danse contemporaine (Les parages de zéro, Cie Aziliz Dañs et Cécile Borne), du théâtre d’objet (En Vol, Jacques Templerault, Dominique Vissuzaine). Intervient sur Noz Unit #2 (Jean-Louis Le Vallegant), dans Before Back (Rodolphe Burger, Erik Marchand), avec Michel Aumont. On le convie à programmer « ses images venues d’ailleurs » au Festival de Cinéma de Douarnenez ou aux Transmusicales, ou faire des installations aux Transmusicales de Rennes (collectif Zarmine), sur d’étranges projets tels qu’Ouvrez le bal ! et L‘étoffe des femmes (Cie Aziliz Dañs).
Ne pas oublier qu’il réalise aussi, en vidéo (série expérimentale «Les mémoires vives» avec Cécile Borne) et au cinéma, comme assistant réalisateur sur une trentaine de films, courts ou longs.
E.Premel