Lucie Hardoin
Plouhinec
Description
Après une formation de musicienne et d’ingénieur du son, Lucie Hardoin s’intéresse aux nouvelles technologies à travers le son binaural et la vidéo.
Depuis ses études à Brest, elle se spécialise dans la captation de paysages et de balades sonores en utilisant la technique de prise de son binaurale qu’elle a découverte auprès de Pascal Rueff. Elle construit tout d’abord une tête artificielle puis s’équipe de sa propre tête, la Neumann KU100 réputée mondialement pour la qualité de ses prises. Elle utilise des plugins de synthèse binaurale permettant de fabriquer un environnement 3D à partir de n’importe quelle prise de son. Avec cet équipement, elle enregistre des paysages sonores lors de ses séjours à l’étranger et capte des concerts en multicanal dans le but de faire partager sur deux canaux la sensation sonore ressentie pendant la performance.
Elle considère l’écoute binaurale comme un portail sonore permettant de voyager via une immersion 360, accessible grâce à une diffusion au casque. Avec cette technique, il est possible de capter de façon fidèle un territoire auditif, une notion importante dans l’idée de préserver et d’archiver notre patrimoine sonore. En plus de proposer son savoir-faire dans la prise de son et le mixage binaural, Lucie organise des ateliers de découvertes du son 3D.
Passionnée de jazz , Lucie Hardoin part en 2004 à New York où elle co-réalise avec Ronan Cabon quatre documentaires de 52 minutes sur la nouvelle scène new-yorkaise : « Free Zone », « Bands of Brooklyn », « Où va le jazz» volume 1 et 2. Ces films sont diffusés à travers de nombreux festivals et événements autour de la musique.
Parallèlement, elle met en place des ateliers afin de sensibiliser les jeunes au jazz, musique de qualité mais peu médiatisée.
Elle développe d’autres ateliers, cette fois-ci autour de l’image et du son, pour transmettre son goût des méthodes de production et postproduction cinématographiques.
Chef opératrice son en tournage de fictions et de documentaires depuis plusieurs années, elle développe également un lien entre image, son, musique et cinéma, créant ses propres contenus visuels et utilisant des outils de mixage vidéo en live.
Elle est intervenante professionnelle à l’ISB (Image et Son Brest), à l’Université Rennes 2, en BTS option son à Lesneven et à l’ESRA (école supérieure de réalisation audiovisuelle) à Rennes.
Depuis ses études à Brest, elle se spécialise dans la captation de paysages et de balades sonores en utilisant la technique de prise de son binaurale qu’elle a découverte auprès de Pascal Rueff. Elle construit tout d’abord une tête artificielle puis s’équipe de sa propre tête, la Neumann KU100 réputée mondialement pour la qualité de ses prises. Elle utilise des plugins de synthèse binaurale permettant de fabriquer un environnement 3D à partir de n’importe quelle prise de son. Avec cet équipement, elle enregistre des paysages sonores lors de ses séjours à l’étranger et capte des concerts en multicanal dans le but de faire partager sur deux canaux la sensation sonore ressentie pendant la performance.
Elle considère l’écoute binaurale comme un portail sonore permettant de voyager via une immersion 360, accessible grâce à une diffusion au casque. Avec cette technique, il est possible de capter de façon fidèle un territoire auditif, une notion importante dans l’idée de préserver et d’archiver notre patrimoine sonore. En plus de proposer son savoir-faire dans la prise de son et le mixage binaural, Lucie organise des ateliers de découvertes du son 3D.
Passionnée de jazz , Lucie Hardoin part en 2004 à New York où elle co-réalise avec Ronan Cabon quatre documentaires de 52 minutes sur la nouvelle scène new-yorkaise : « Free Zone », « Bands of Brooklyn », « Où va le jazz» volume 1 et 2. Ces films sont diffusés à travers de nombreux festivals et événements autour de la musique.
Parallèlement, elle met en place des ateliers afin de sensibiliser les jeunes au jazz, musique de qualité mais peu médiatisée.
Elle développe d’autres ateliers, cette fois-ci autour de l’image et du son, pour transmettre son goût des méthodes de production et postproduction cinématographiques.
Chef opératrice son en tournage de fictions et de documentaires depuis plusieurs années, elle développe également un lien entre image, son, musique et cinéma, créant ses propres contenus visuels et utilisant des outils de mixage vidéo en live.
Elle est intervenante professionnelle à l’ISB (Image et Son Brest), à l’Université Rennes 2, en BTS option son à Lesneven et à l’ESRA (école supérieure de réalisation audiovisuelle) à Rennes.